DPGE vise un objectif unique, ciblé et limité aux droits politiques des résidents du canton. Cela ne doit pas l’empêcher de soutenir associations ou regroupements attachés à refuser d’autres dispositifs législatifs ou réglementaires privatifs de droits humains tout aussi élémentaires que celui de participer à la vie civique. En particulier, DPGE est consciente des menaces qui pèsent sur les diverses catégories d’asile ou sur le droit à une vie décente des populations de migrants aboutissant dans nos murs. La perspective de participer à terme à la vie civique locale est un puissant vecteur d’intégration pour toute victime d’exclusion ou de xénophobie, et s’insère logiquement dans les efforts d’élargir les droits de catégories de population en quête de résidence légale.
C’est pourquoi DPGE veut marquer que son combat s’inscrit naturellement dans celui que mène, sur un plan plus large et dans un autre volet de la législation que celui des droits civiques, la Coordination genevoise contre l’Exclusion et la Xénophobie (StopEXclusion).
Le comité DPGE a donc transmis à cette coalition une demande formelle d’adhésion. En retour, DPGE compte sur un soutien continu et résolu de ses entreprises par les instances de StopEXclusion.